Les Bahamas d’île en île

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Une île est une île… Eh bien pas du tout !

Que m’évoquent les Bahamas ?

Un fabuleux voyage fait en Octobre 2015.

Mais encore ? L’idée qui me vient quand j’y repense et en comparaison d’autres destinations insulaires est que ce sont des îles… civilisées !

Partout on y ressent la proximité de la civilisation et des Etats-Unis.

Il convient avant tout de préciser que comme aux Maldives et aussi en Thaïlande par exemple, mais à la différence de la République Dominicaine, il s’agit d’un archipel. Un réseau nourri de petites îles, bien différentes les unes des autres.

Et à chacune d’elle son identité. Le point commun à mes yeux, on n’y trouve pas de côté vraiment « sauvage ».

Personnellement j’ai commencé par Nassau

C’est la « grande » île, la capitale.  De belles choses, de beaux paysages… mais on a parfois tendance à se croire sur la Côte Ouest des USA. Et dans certains sites très touristiques, c’est un peu comme le Disneyland de l’île tropicale. Partout d’énormes bateaux de croisières, de gigantesques hôtels, d’aucuns disent à juste titre que les Bahamas sont le terrain de jeux des américains. Pas vraiment d’authenticité, même si certains témoignages de l’histoire locale sont présents. Bien pour y passer 48h, aller se balader dans l’immense parc plein d’attractions et de luxe de l’hôtel Atlantis, faire une balade à Blue Lagoon, où vous pourrez nager avec des dauphins en semi liberté (mais attention dans d’immenses lagons naturels, pas dans des parcs qu’en ce qui me concerne je n’aime pas du tout), et le tour est rapidement fait.

J’ai fait ensuite les îles Abacos

Great Abacos, Marsh Arbour, Harbour Island… Plus authentiques, à taille humaine, des maisons multicolores et des activités tournées vers la pêche et le bateau. Largement plus attirantes et agréables en ce qui me concerne. Un bémol, je n’y suis pas allée à la bonne saison, beaucoup de magasins étaient fermés, plus aucuns clubs de plongée ouverts et un cyclone en approche qui n’est finalement jamais arrivé! J’ai quand même pu y apprécier le calme de la morte saison sous un magnifique soleil avec des plages pour nous tous seuls et des endroits charmants et colorés, de la nourriture très fortement américanisée mais saveurs en plus, le tout avec une mention spéciale pour la beauté des couchers de soleil.

Enfin nous nous sommes rendus sur Eleuthera

Cette île, tout en longueur, ma préférée, avait tout du paradis. Des hôtels magnifiques et hors du temps, le nôtre jouxtait la propriété de Lenny Kravitz (ah oui il n’y a que des « people » aux Bahamas !), des petites perles au milieu d’anses désertes au sable rosé.

Les musts de ce voyage aux Bahamas

J’ai d’ailleurs eu l’occasion de faire 2 magnifiques plongées côté océan Atlantique (Eleuthera est bordée d’un côté par l’océan, de l’autre par la mer des Caraïbes, et vous pouvez voir les 2 étendues dans la partie la plus étroite de l’île, à tomber !). Un de mes plus beaux souvenirs, c’est aussi Pink Sand que je n’aurais manqué pour rien au monde.

Une plage de sable rose, unique en son genre, un avant goût de l’éden tel que je l’imagine !

Les plus : c’est beau, c’est coloré, c’est musical, c’est reposant et idéal pour se retirer quelques jours du monde…

Les moins : c’est assez onéreux, c’est trop « civilisé »… On ne rencontre par vraiment les « autochtones », seuls ceux qui sont axés sur les métiers du tourisme.

Mon conseil si vous y allez, évitez quand même octobre.

                                                                                                                                                              Bahamas

 

 

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