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Je ne connais pas l’envie, et ça me rend heureuse !

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Je ne connais pas l’envie, et ça me rend heureuse !

Libre à vous de me croire ou non.

Cet article a simplement pour objectif de vous inviter à la réflexion… loin de moins l’idée de donner des leçons à quiconque… Il fait partie de mes petits billets d’humeur intégrés dans la partie de ce blog dénommée  « Dans ma bulle ».

Je me dis ça assez souvent. « Je ne connais pas le sentiment d’envie ». Et cela me procure un grand sentiment de plénitude.

 

Alors, si je ne ressens pas l’envie, peut-être est-ce parce que je ne suis pas malheureuse ?

Sans doute…

Comblée dans la vie par l’amour qu’il y a autour de moi, et aussi grâce au fait encore plus important qu’en dépit d’alertes sérieuses, nous avons été épargnés jusqu’ici dans nos santés, sûrement…

Pourtant j’observe -et dans ma vie professionnelle, il m’est donné de rencontrer pas mal de monde- que de nombreuses personnes (qui pourtant sont elles aussi dans ce cas : bien entourée et pas spécialement dans les difficultés), ne résistent pourtant pas à ce sentiment si négatif qu’est celui de l’envie.

Observer le bonheur, l’accomplissement des gens, des autres, en se disant « waou c’est cool ça, pour lui/elle »… Ou juste en se disant « pas mal », j’aimerais bien moi aussi ! Si ça s’arrête là, passe encore. Mais souvent ce constat s’accompagne d’aigreur(s), de méchanceté(s), parfois même de haine.

 

Car oui la plupart du temps cela va plus loin.

Envier l’autre, ses choix, ses résultats, ses goûts, ses appétences, sans rien savoir de ce que cela lui a demandé comme sacrifices ou efforts, quelle perte d’énergie, de temps et quel état de souffrance morale cela produit-il !

Les vilaines pensées et les mauvaises ondes émises par les envieux sont a minima « polluantes »…

J’ai la faiblesse de croire que ces ondes ne peuvent, à terme, que se retourner vers ceux qui vous les envoient. Et que ne vous critiquent que ceux qui en font moins que vous (forcément les autres n’ont pas le temps !). Je crois aussi que si les gens sont méchants et critiques c’est qu’ils sont malheureux.

Je le dis avec beaucoup de sincérité et ça me fera peut être passer pour une naïve un peu rêveuse, ou certains ne me croiront pas, mais pourtant… je ne ressens jamais le sentiment d’envie. Il est trop négatif, c’est une belle perte de temps et un poison à terme… 

Quand quelqu’un réussit un de ses objectifs, obtient ce qu’il attend, est heureux, je le suis pour lui. Sans aucune arrière pensée… Si c’est quelqu’un que j’aime je m’en réjouis, si c’est quelqu’un d’autre, ça m’indiffère ! 

Et je crois profondément que cela (l’absence d’envie) contribue largement à mon propre bonheur.

Il m’est donc tout naturellement venue l’envie (oui !)… de vous faire partager cette petite réflexion matinale. Certain(e)s sont trop aigri(e)s et trop imprégné(e)s de ce sentiment pour « être sauvés d’eux mêmes », tant pis, si ça peut en aider d’autres, tant mieux…

 

Comme une invitation à réfléchir…

Alors dans cette période d’accalmie où beaucoup d’entre vous se reposent, sont en congés (je pars moi même quelques jours faire une tout petit break au frais dans une période d’intense activité), j’avais envie de vous inviter à songer à tout cela…

Où en êtes vous face au sentiment d’envie ? Vous habite-t’il parfois ? Si c’est le cas, chassez le vite… tracez votre propre chemin, donnez-vous juste les moyens de votre envie. Qu’ils soient à la même hauteur qu’elle… Sinon ce « sentiment tout moche » va vous pourrir de l’intérieur ! 

Et je finirai ce petit billet par une citation très jolie, lue chez René Barjavel ce matin à l’aube, qui m’a donné envie d’écrire ces quelques lignes, à l’aube aussi : « L’homme est d’abord un enfant avant d’être un adulte. Il serait peut-être bon de se demander si la perfection n’est pas dans l’enfance, si l’adulte n’est pas qu’un enfant qui a déjà commencé à pourrir »…  Qu’en pensez-vous ? 

 

 

Pour se quitter, un poème que j’adore qui parle de TOUT ce que la vie en société peut inspirer… J’ai baigné dans ces lignes inculquées par ma mère depuis l’enfance… Tant qu’à faire qu’à échanger sur des références, voici les miennes… 

 

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